32EME RENCONTRES ANNUELLES DU RISK MANAGEMENT. UN RAPIDE RETOUR. 

J’y étais. Deux journées riches en rencontres. Deux journées stimulantes. Il a été difficile de choisir entre les ateliers.

J’ai pu assister à trois ateliers.

🎯 Un sur les captives dont Brigitte Bouquot était la modératrice : « Captives en France : Stratégie et gouvernance pour sculpter l’opportunité d’entreprendre au service des entreprises »

Un atelier structuré : une contextualisation des captives « à la française », une analyse du rôle de celles-ci dans la société assurantielle et la gouvernance, une trajectoire pour « libérer » le potentiel des captives françaises.

Un atelier « pratique » à plusieurs voix : la Fédération Françaises des Captives d’Entreprises, les témoignages de SAFRAN, L’OREAL et NAVAL GROUP, l’étude de SCOR qui dessine une trajectoire, le Régulateur à travers les propos de deux représentants du Trésor.

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🎯 Un 2ème sur la qualité de la donnée dont François Beaume était le modérateur : « Parcours Données – Qualité de la donnée, passage obligé pour une quantification des risques efficace »

Un atelier structuré : une contextualisation – pourquoi est-ce un sujet d’actualité ? -, en quoi la qualité de la donnée est indispensable à une gestion des risques efficace, la recherche d’une donnée structurée, mise à jour, granulaire, la nécessité d’avoir un appétit de la donnée derrière l’appétit au risque.

👉 Mes étudiants de M1 et M2 n’ont pas fini d’en entendre parler.

🎯 Un 3ème sur la CSRD dont Anne-Gaëlle Delattre était la modératrice : « Parcours Durabilité – La CSRD est-elle un risque ou une opportunité pour l’ERM ? »

Un sujet de stabilité juridique non négligeable sur lequel des éléments ont été apportés autour de cinq points :

✔️ L’organisation de la gouvernance, une gouvernance dédiée, pluridisciplinaire, pilotée par le RSE ;

✔️ L’accompagnement nécessaire de l’évaluation à la publication du rapport de durabilité ;

✔️ Le rôle du Risk Manager aux niveaux de l’analyse de la double matérialité et de la co-rédaction du rapport de durabilité ;

✔️ La prise en compte des parties prenantes externes ;

✔️ Les attentes des financeurs et investisseurs.

En conclusion : le rôle clé du Risk Manager dans la publication du rapport / un rapport à la base d’un dialogue unifié et stratégique / une opportunité même si elle est mal engagée.    

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