L’atteinte à la réputation de Guerlain amène à faire des préconisations pour une meilleure gestion des risques et une meilleure communication de crises, créatrices de valeur.
DES CONSEILS DE LECTURE :
- Du côté des plans d’actions (étape 4 de la démarche de gestion des risques : maîtrise des risques)
L’importance de l’anticipation et des exemples de plans d’actions pour mieux gérer les crises
- Du côté de la communication de crise (ce qui arrive après…)
Pour moi, la gestion de crises est ce qui arrive une fois que le risque s’est réalisé – une fois qu’il est trop tard pour le RM. Un RM me disait : « pour moi il faut faire très attention, la plupart du temps, la gestion de crise, la communication de crise ne fait pas partie des descriptions de postes, c’est un tout autre métier. La gestion de risques est vraiment la préparation de tout avant, mais lors des événements se sont des spécialistes opérationnels qui prennent le relais, et surtout en communication de crise…»
Pour autant, revenir sur la gestion de crises a sa place dans un ouvrage consacré à la Fonction Risk Manager et dans un blog consacré aux risques, à la gestion des risques et à la Fonction Risk Manager tant les sujets sont proches voire reliés.
Chapitre I : Des exemples de gestion de crises et communications de crise « ratées ». Dans notre ouvrage, je vous propose les exemples de Total Raffinerie de la Mède, AF-KLM, Lidl, Dove, Lactalis ou encore Nike qui comptent parmi les plus médiatiques.
Chapitre IV, p.190-213 : Méthodes et outils face à l’urgence : gestion de crise.
- Du côté de la création de valeur apportée par la gestion des risques.
Un article intéressant qui questionne l’analyse du Bad Buzz autour de GUERLAIN sur le rôle du marketing : pour un marketing qui apporte de la valeur à tous. A « dupliquer » ou prolonger sur une gestion des risques créatrice de valeur ?